Au volant de sa voiture rouge, Steph Berrier, le champion de tennis, va d'une capitale à l'autre, disputer des matches internationaux et, au passage,... Lire la suite 6,99 ⏠E-book - PDF Ebook Téléchargement immédiat 6,99 ⏠Vous pouvez lire cet ebook sur les supports de lecture suivants Téléchargement immédiat DÚs validation de votre commande Offrir maintenant Ou planifier dans votre panier Au volant de sa voiture rouge, Steph Berrier, le champion de tennis, va d'une capitale à l'autre, disputer des matches internationaux et, au passage, tombe dans d'étranges aventures. Il semble avoir le talent de se fourrer toujours dans les coups les plus durs, dans les intrigues les plus inextricables. Pourtant, il ne se doutait pas, en prenant ce jour-là l'autoroute de l'ouest pour aller rendre visite à ses amis Tony, Maryse et Didier - à la station service de Suresnes - qu'il deviendrait, quelques minutes plus tard, le principal acteur du mystÚre des cadrans radioactifs de BX 13 ! Cette dangereuse affaire, qui démarre comme une course contre la montre, il la mÚnera au volant de Ruby, roulant de jour et de nuit à la poursuite des deux Brésiliens, du Havre à Avignon, d'Avignon à Paris. Mais, malgré sa ténacité, parviendra-t-il à triompher sans l'aide de Tony, les encouragements de Maryse, et les étonnantes astuces du petit Didier ? Date de parution 01/01/1961 Editeur Collection ISBN 2-307-51619-0 EAN 9782307516194 Format PDF Nb. de pages 200 pages Caractéristiques du format PDF Pages 200 Taille 35 215 Ko Protection num. Digital Watermarking
Danscette enceinte Ă l'abri de l'agitation de la capitale, il enseigne Ă une classe de CE2. TrĂšs vite, cet instituteur de 47 ans a ressenti leAccueil DĂ©couvrez toutes nos Ă©tudes Le grand divertissement radiophonique ou la naissance d'un nouveau loisir L'orchestre de la station Radio-Luxembourg. La famille Duraton reçoit Maurice Chevalier. L'Ă©quipe de Benjamin dans un studio avec Mireille, au pupitre, et Jean Nohain, tout Ă gauche. L'orchestre de la station Radio-Luxembourg. © L'illustration - droits rĂ©servĂ©s La famille Duraton reçoit Maurice Chevalier. © L'illustration - droits rĂ©servĂ©s L'Ă©quipe de Benjamin dans un studio avec Mireille, au pupitre, et Jean Nohain, tout Ă gauche. Date de publication Octobre 2005 Auteur Philippe TETART Lâinvention des programmesAu cours des annĂ©es 1930, les temps dâantenne des stations de radio sont multipliĂ©s par deux Ă trois. Cette Ă©volution entraĂźne une diversification des programmes et lâaffirmation subsĂ©quente de la notion dâĂ©mission thĂ©matique information, jeux, concerts, variĂ©tĂ©s, opĂ©rettes, théùtre, dramatiques, Ă©missions Ă©ducatives, etc.. Dans ce domaine, les postes privĂ©s sont plus innovants que ceux du rĂ©seau dâĂtat. On leur doit le lancement de la plupart des formules Ă succĂšs de lâĂ©poque, notamment La Famille Duraton Radio-CitĂ©, La Course au trĂ©sor et Les Incollables sur le Poste-Parisien, la premiĂšre Ă©tant animĂ©e par Pierre Dac, les Radio Crochet de Radio-CitĂ© et de Radio-Toulouse ou encore le Bar des Vedettes Radio-37. Lâart et le coĂ»t de la grille⊠Ce corpus photographique illustre deux aspects de lâhistoire des stations privĂ©es des annĂ©es 1930. La pause publicitaire de lâorchestre Radio-Luxembourg montre quâen matiĂšre de recrutement musiciens, animateurs, speakers, techniciens et de dĂ©veloppement des infrastructures studios, auditoriums, salles de concert, etc., les postes privĂ©s investissent de fortes sommes pour satisfaire aux exigences de grilles Ă©toffĂ©es requĂ©rant une professionnalisation accrue de leurs concepteurs, rĂ©alisateurs et acteurs dont les orchestres. Sâagissant de la professionnalisation et des animateurs les plus en vue, le cas de Saint-Granier permet de souligner quâĂ la fin des annĂ©es 1930 le succĂšs de la radio est aussi celui de ses animateurs vedettes. Vu lâĂąge de la radio, ils ont le plus souvent une formation autre que radiophonique. Câest le cas de Saint-Granier, ancien journaliste, auteur de théùtre et chanteur qui collabore aussi Ă La Famille Duraton, feuilleton radiophonique culte de Radio-CitĂ©, lancĂ© en 1936 avec les journalistes Jean-Jacques Vital et Lise Ălina et la comĂ©dienne et speakerine Yvonne Galli, absente sur la photo. On les voit ici en compagnie de Maurice Chevalier, quâils viennent dâinterroger dans le cadre de lâĂ©mission. La radio recrute aussi parmi les vedettes du music-hall. Ainsi Jean Nohain, avocat, journaliste et auteur de chansons Ă succĂšs dont le fameux CouchĂ©s dans le foin, 1936, lance-t-il entre autres Benjamin 1929, qui deviendra une Ă©mission enfantine phare de la station FL. De mĂȘme, la chanteuse et compositrice Mireille, que lâon voit ici parmi lâĂ©quipe de Benjamin, produit une Ă©mission de variĂ©tĂ©s sur le Poste-Parisien. Les professionnels dâun loisir de masseEntre le dĂ©but des annĂ©es 1920 et la fin de la dĂ©cennie suivante, lâhistoire de la radio est marquĂ©e par sa professionnalisation. Ă la fin de cette pĂ©riode, la part des Ă©missions rĂ©alisĂ©es par des non-professionnels est devenue minime ». La radio est de moins en moins artisanale, ce que lâon discerne bien dans ce corpus photographique illustrant la mise en Ćuvre de moyens incomparables Ă ceux des pionniĂšres annĂ©es sans-filistes, au temps oĂč lâĂ©mission et lâĂ©coute relevaient encore de la prouesse. ConjuguĂ©e Ă lâaugmentation diversifiĂ©e des programmes, Ă la croissance et Ă la modernisation de lâĂ©quipement des foyers 6 sur 10 sont Ă©quipĂ©s en 1939, Ă lâacculturation radiophonique du plus grand nombre les gĂ©nĂ©rations des annĂ©es 1920 et 1930 naissent avec la radio, tandis que les prĂ©cĂ©dentes durent lâapprivoiser, cette professionnalisation fait que lâĂ©coute de la radio devient le premier loisir des Français, en un temps â celui du Front populaire â oĂč, prĂ©cisĂ©ment, leur aspiration aux loisirs grandit et trouve une lĂ©gitimitĂ© dans le dĂ©bat socio-politique. Plus largement, la radio sâaffirme alors comme un moyen de communication de masse, ce que la Seconde Guerre mondiale puis lâaprĂšs-guerre confirmeront de façon radicale. Christian BROCHANDHistoire gĂ©nĂ©rale de la radio et de la tĂ©lĂ©vision en Francetome I 1921-1944 », Paris, La Documentation française-ComitĂ© d'histoire de la radiodiffusion, de BUSSIERRE, Caroline MAURIAT et CĂ©cile MĂADEL dir.Histoire des programmes et des jeuxParis, Gehra-CHTV-CHR, de BUSSIERRE, Caroline MAURIAT et CĂ©cile MĂADEL dir.Histoire des publics de la radio-tĂ©lĂ©visionParis, Gehra-CHTV-CHR, CHAUVEAU et Philippe TETARTIntroduction Ă lâhistoire des mĂ©diasParis, Armand Colin, JEANNENEY dir.LâĂcho du de la radio et de la tĂ©lĂ©vision en FranceParis, Hachette-Arte-La CinquiĂšme, 1999, 2e Ă©dition mise Ă jour, Pluriel, MĂADELHistoire de la radio des annĂ©es sans-filiste Ă l' INA & Anthropos-Economica, PROTDictionnaire de la radioGrenoble-Bry-sur-Marne, Presses universitaires de Grenoble-INA, 1997. Philippe TETART, Le grand divertissement radiophonique ou la naissance d'un nouveau loisir », Histoire par l'image [en ligne], consultĂ© le 26/08/2022. URL Albums liĂ©s DĂ©couvrez nos Ă©tudes La mode des courses de chevaux Câest sous le Second Empire que les premiers grands champs de courses sont créés. Dans ses MĂ©moires, le baron et prĂ©fet de la Seine⊠Lâethnographie-spectacle Naissance dâune industrie du loisir Les Ă©chantillons de peuples exotiques prĂ©sentĂ©s au Jardin dâacclimatation Ă partir de 1877 faisaient lâobjet d⊠Les auberges de jeunesse Les auberges de jeunesses Cette affiche, créée en mars 1945 par M. Lassalle pour le Mouvement Uni des Auberges de Jeunesse MUAJ, est conservĂ©e⊠Une grande actrice sous le Second Empire Une reine de la fĂȘte impĂ©riale »RestĂ© dans la mĂ©moire collective comme une Ă©poque de plaisirs la fĂȘte impĂ©riale », le Second Empire est en⊠Les plaisirs de la plage au XIXe siĂšcle Les rivages de la Manche, territoires du vide » jusque dans les annĂ©es 1820-1830, attirent Ă partir de cette pĂ©riode une clientĂšle de plus en plus⊠Les spectacles et la mode de la culture russe en France La Russie, Orient de lâEurope OpposĂ©es lors de lâĂ©popĂ©e napolĂ©onienne ou, plus tard, durant la guerre de CrimĂ©e 1854-1856, la France et la⊠Le Cirque Ă Paris LâĂąge dâor du cirque Ă Paris La seconde partie du XIXe siĂšcle voit le dĂ©veloppement significatif dâune Ă©conomie de loisirs, liĂ©e en⊠Biarritz, lâautre cĂŽte Une station thermale et balnĂ©airePendant prĂšs de cinquante ans des annĂ©es 1870 aux annĂ©es 1920 le photographe Henri Lemoine 1848-1924 a⊠Les premiers syndicats dâinitiative Naissance et dĂ©veloppement des syndicats dâinitiative sous la TroisiĂšme RĂ©publique Dans la seconde partie du XIXe siĂšcle, de⊠Lâamour Ă la ComĂ©die-Française Câest sous lâinfluence de son maĂźtre Claude Gillot que Watteau va sâintĂ©resser Ă lâart dramatique et sâinitier aux sujets théùtraux. 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Votreprochain feuilleton TV Denis la petite peste: Denis Max: 193: Rédactionnel: Télé-Pilote: Pilote à l'heure de New York avec Brigitte Salbert: Denis Max: 193: Rédactionnel: Télé-Pilote: Johnny Hallyday découvre à radio-Luxembourg le jumeau de Gonfaron: Denis Max: 193: Rédactionnel: Télé-Pilote: L'homme à la carabine sciée
ï»ż"La radio a le vent en poupe. Radio-citĂ© en 35 marquera le dĂ©but de la radio moderne. DĂšs 36, "Le crochet tĂ©lĂ©phonique", "Le music-Hall des jeunes" ou "Le micro de la redoute" lanceront la mĂŽme Piaf, AndrĂ© Claveau, Trenet... L'annĂ©e suivante Radio 37 proposera "Le bar des vedettes". Mamie a huit ans quand elle tombe nez Ă nez sur un reportage de Georges Briquet, Ă©merveillĂ©e, elle "voit" Louison Bobet sâĂ©chapper en solitaire dans lâIzoard. Et ces sons restent gravĂ©s comme sâil sâagissait dâ tard, le Radiola familial en BakĂ©lite lui a imprimĂ© des airs indĂ©fectibles des annĂ©es 40 qui venaient de se terminer "Câest une fleur de Paris", "Dans les plaines du Far West", "On boit lâcafĂ© au lait, au lit", des refrains qui commencent Ă danser dans sa la foulĂ©e, elle a entendu que "de gaulle sâen allait", puis que "Gandhi avait Ă©tĂ© assassinĂ©". Comment oublier les photographies de ses obsĂšques dans France Illustration avec son corps recouvert de fleurs quâon installait sur le nuit de septembre 1948 est son souvenir radiophonique le plus intense de ces annĂ©es-lĂ son pĂšre avait mis le rĂ©veil - une fois n'est pas coutume - Ă 4 heures du matin pour Ă©couter la radio. Il avait fait du cafĂ© aprĂšs lâavoir moulu et sorti la poudre de son tiroir pour la mettre dans la cafetiĂšre. Pour lui et pour les voisins aussi. Comment les enfants auraient-ils pu dormir ? On leur avait dit quâon allait entendre une voix venue dâAmĂ©rique et que cette voix allait raconter un grand match de boxe avec notre hĂ©ros, Marcel Cerdan, qui voulait devenir champion du monde. Dans la France entiĂšre, des millions de personnes sâĂ©taient rĂ©veillĂ©es Ă la mĂȘme heure pour Ă©couter la retransmission. Tout le monde avait pris soin de rĂ©gler le curseur du poste sur la bonne frĂ©quence. On entendait alors la voix de Pierre Crenesse et un brouhaha insensĂ©. Du dĂ©lire ! Et lorsque le pĂšre et les voisins bondirent de joie, Mamie comprit que ça y Ă©tait, Cerdan Ă©tait champion du an plus tard, les voix du poste avaient des intonations funĂšbres Marcel cerdan Ă©tait tuĂ© dans le crash, aux Açores, du Super Constellation dâAir France qui le conduisait aux Etats-Unis oĂč lâattendait Edith Piaf, dont le dĂ©chirant et prĂ©monitoire "Hymne Ă lâamour" allait concurrencer sur les ondes le "Petit Papa NoĂȘl" de Tino 1950, on compte en France 6 millions de rĂ©cepteurs. Ni plus, ni moins. Du petit en BakĂ©lite au monumental en Ă©bĂ©nisterie, il y en a pour tous les goĂ»ts. Le choix nâest pas facile tant les marques sont nombreuses et foisonnent dans les pages de publicitĂ© des magazines. "Le monde entier chez vous avec RĂ©gal", "Skymaster, champion des postes portatifs avec ses huit lampes miniatures amĂ©ricaines", "Une invention française qui fait le tour du monde Mega" ; "Pour moi toute seule, jâutilise mon Philips Ă ma guise. Un petit poste Ă©lĂ©gant et coquet assorti Ă la couleur de ma chambre" ; "Mes parents ont leur poste. Moi, jâai ma Radiolinette Radiola" ; "Entendre tous les reportages avec Schneider" ; "LâAmĂ©rique surclassĂ©e Brand Spread, le poste des cinq continents. 300 stations reçues avec la prĂ©cision du radar" ; "Le poste de lâan 2000 le Glob tester universel. Les cinq continents dans une valise". Et d'autres, tant d' la tĂ©lĂ© fait son apparition Mamie n'en a cure, elle continue de vivre un certain temps au rythme de la radio, de ses rendez-vous. A peine rĂ©veillĂ©e, Mamie saisit des bribes de phrases, des mots, des noms CorĂ©e, 38e parallĂšle, Truman, bombe H, Laurent Dauthuille, cortisone, ennemi public n°1, Ionesco, marquis de Cuevas... AprĂšs, heureusement, il y a des chansons. La "Cabane au Canada" passe en boucle. Si on ne la connaĂźt pas par coeur, câest quâon est sourd !Des annĂ©es plus tard quand les annĂ©es 50 prendront fin avec la catastrophe du barrage de Malpasset Ă ma Mamie se souviendra des Ă©motions, des rires, des enthousiasmes, de cette ambiance de veillĂ©e autour du poste. Un souvenir ineffable. Comment oublier Carmen et La Hurlette, les deux clochards de "Sur le banc" qui Ă©voquent lâactualitĂ© et les potins qui finissent leur conversation par la question "Quâest-ce quâon mange ?"Le dimanche chez sa grand-mĂšre, Ă l'heure du dĂ©jeuner, avant d'attaquer le lapin aux olives ou les gnocchis Ă la sauce aux noix -, la famille Ă©coute le "Grenier de Montmartre". Ah ce grenier et ses chenapans, des chansonniers Edmond Meunier, AndrĂ© Rochel, Maurice Horgues, Robert Rocca, Françoise Dorin... Les commentaires fusent "Quâest-ce qui leur mettent, aux ministres, aux dĂ©putĂ©s et au percepteur !" Et Ă la fin, rituellement, et en chanson s'il vous plaĂźt, le sempiternel... "Pour informer le monde avec la voix des ondes, il y a, il y a, il y a les chansonniers. Au revoiiir, au revoiiir, notre Ă©mission est terminĂ©e et nous fermons notre Grenier..."Le mercredi soir, place au "Club des chansonniers" sponsorisĂ© par une marque dâapĂ©ritif "Avec Martini, Martini, Martini, le monde entier chante et sourit...". Et que dire de la famille Duraton, l'Ă©mission prĂ©fĂ©rĂ©e de ma Mamie...La famille Duraton... De 19 h 45 Ă 19 h 55, les discussions cessent autour de la table familiale, couteaux et fourchettes sont condamnĂ©s au silence pour cette grande messe radiophonique suivie par la France entiĂšre. On entendrait une mouche voler. Ded Rysel est le pĂšre Duraton, Jean-Jacques Vital, le fils, Jacqueline Cartier, sa femme. Leur fille Lisette est fiancĂ©e Ă Paul, le voisin de palier, jouĂ© par Jean Carmet. Et tout ce petit monde fait ce que ce que fait une majoritĂ© de Français "moyens" ils parlent de tout et de rien, des choses de la vie quotidienne et des Ă©vĂšnements. RĂąlant comme il se doit contre les dĂ©putĂ©s et le fisc. Câest comme si chaque Français sâĂ©coutait lui-mĂȘme ou Ă©coutait sa femme, ses se souvient aussi de "La coupe interscolaire", grand jeu de questions arbitrĂ© par "Monsieur Champagne" et de ces rengaines selon les rĂ©ponses "Merci, merci, Monsieur Champagne, vous nous avez bien renseignĂ©s" ou "ZĂ©ro, zĂ©ro, Monsieur Champagne, vous nous avez mal renseignĂ©s."Et Jean Nohain, dit "Jaboune" sa "Reine dâun jour", oĂč les annonceurs dotent richement une auditrice choisie pour ses malheurs. Sa gentillesse fait passer les gaffes de ce tĂȘte en l'air "La plus jeune de mes filles est enceinte, sans savoir de qui ?" - Mais alors vous allez ĂȘtre grand-mĂšre. Vous ĂȘtes contente ?"Et Radio-Circus patronnĂ© par LâOrĂ©al avec ses trois Ă©missions vedettes le "Crochet radiophonique" et le gong qui a lâinsistance du public, interrompt et condamne le chanteur amateur qui lui dĂ©plaĂźt ; "Emportez-le avec vous" un candidat, les yeux bandĂ©s, doit trouver le nom dâun objet placĂ© devant lui ; "Quitte ou double" enfin prĂ©sentĂ© par Zappy Max. Et la porte qui couine dans la musique gĂ©niale trouvaille dâAndrĂ© Poo du gĂ©nĂ©rique des "MaĂźtres du mystĂšre", dont les histoires au suspense remarquablement entretenu font frissonner chaque mardi soir, de prĂ©fĂ©rence dans le lit, lumiĂšre Ă©teinte et Ă lâabri des couvertures. Et Mireille et son petit conservatoire de la chanson qui repĂšre avec un flair inouĂŻ les talents prometteurs. Mamie se souvient aussi de "La minute du bon sens" de Saint-Granier juste avant le journal parlĂ© du Poste parisien. Et de Libres propos de Georges Delamare dans les "actualitĂ©s de midi", chronique quotidienne des prĂ©occupations - grandes et petites - des Français les bourreaux dâenfants, lâalcoolisme, le franc, la paperasse administrative, la voiture...Et GeneviĂšve Tabouis et ses "DerniĂšres nouvelles du matin" annoncĂ©es sur le ton de ne-le-dites-Ă -personne. Il y a Ă boire et Ă manger dans ses "rĂ©vĂ©lations", mais on pardonne beaucoup Ă une femme qui a Ă©tĂ© surnommĂ©e "Tante Mensonge" par Hitler... Et "Ecoute, Ă©coute" de Roger Nicolas, du "Canard Ă©tait toujours vivant" de Robert Lamoureux, de "Qui câest ? Câest lâplombier" de Fernand Raynaud, des bĂ©gaiements de Darry Cowl, du car pour Caen de Raymond Devos. Les loufoques sont enfin de retour pour le plaisir de ma Mamie et des nostalgiques de LâOs a moelle qui se pressent chaque soir afin de vĂ©rifier la rĂ©alitĂ© du slogan imprimĂ© en bas de lâaffiche "On pleure de rire de 21 h 17 Ă 23 h 58." Il nâest pas homme Ă avoir des regrets ; il est et demeure avant tout un crĂ©ateur comme lâaffirmera Roger Pierre alors jeune auteur dâune Ă©mission de Radio-Luxembourg parrainĂ©e par la brillantine câest reparti pour un tour "Parti dâen rire... Parti dâen rire... Câest le parti de tous ceux qui nâont pas pris de parti..." Il lance ensuite Chronique de la dĂ©lation "Si vous ne prenez pas contact avec nous, on dira pourquoi vous vous promenez dans une DS noire avec deux gardes du corps, on dira..."NaĂźtra aussi radar Moustache. Le titre a Ă©tĂ© inspirĂ© par un hebdomadaire spĂ©cialisĂ© dans les faits divers et les affaires Ă scandales, dont le slogan est cĂ©lĂšbre "Radar Ă©tait lĂ ."Sur Radio-Luxembourg, câest le temps de lâAcadĂ©mie joyeuse, Cent francs par seconde, Central 21-53, sans oublier Quitte ou double de Zappy dans la nuit du 21 novembre au 18 juillet dde la mĂȘme annĂ©e que les frĂšres Fauderche ont jetĂ© les bases de cette gĂ©niale invention Le Schmilblick. Furax Le succĂšs dĂ©passe tous les espoirs des responsables dâEurope 1. Le feuilleton est programmĂ© sept jours sur sept, le dimanche Ă©tant consacrĂ© au rĂ©sumĂ© des pĂ©ripĂ©ties de la semaine. Pierre et Francis sont dĂ©sormais les vedettes de la station au mĂȘme titre que les meneurs de jeu, Pierre Bellemare, Maurice Gardett et Maurice Radio-Luxembourg, les feuilletons comme ça va bouillir avec zappy Max, 42, rue courte, Tancarville et Lâhomme Ă la voiture rouge ont du succĂšs, mais Furax bat tous les records de popularitĂ©. Peu aprĂšs 13 heures, la France entiĂšre sâarrĂȘte pour Ă©couter ses fabuleux exploits. La consĂ©cration absolue se produit un jour de janvier 1957, quand Guy Mollet, alors prĂ©sident du conseil, interrompt un dĂ©bat de lâAssemblĂ©e nationale en annonçant au micro "Messieurs les dĂ©putĂ©s ; continuez sans moi. Je vous quitte, je vais Ă©couter Furax..."La formule du gĂ©nĂ©rique va entrer dans lâhistoire "SignĂ© Furax !"
jeudi08. 23h10. 01h00. Mongeville Les ombres d'un doute 1h50 - SĂ©rie policiĂšre Le corps d'une jeune femme est retrouvĂ© dans une casse de voitures et tout laisse ĂVous pouvez utiliser cette photo libre de droits "L'homme ouvre la porte rouge de la voiture ." Ă des fins personnelles et commerciales conformĂ©ment Ă la licence Standard ou Ătendue. La licence Standard couvre la plupart des cas dâutilisation, comprenant la publicitĂ©, les conceptions dâinterface utilisateur et lâemballage de produits, et permet jusquâĂ 500 000 copies imprimĂ©es. La licence Ătendue autorise tous les cas dâutilisation sous la licence Standard avec des droits dâimpression illimitĂ©s et vous permet dâutiliser les images tĂ©lĂ©chargĂ©es pour la vente de marchandise, la revente de produits ou la distribution pouvez acheter cette photo et la tĂ©lĂ©charger en haute dĂ©finition jusquâĂ 6763x4237. Date de lâupload 6 avr. 2019