Romancenoire pour une nuit blanche. La nuit n'a pas encore blanchi sa cape brune. Les doigts sur le Thermos, je m'enivre au café. Des blondes en sachet, compagnes d'infortune, M’embrument le cerveau dans un autodafé. Sous le dais de la nuit qui file en gouttelettes. Rennes se déshabille au milieu des clapots.
FLUX ET REFLUX — 11 Novembre 2020 — Poésie FLUX ET REFLUX Comme la vague sur le sable La vie s’en va et puis revient, Comme la vague sur le sable, Elle vit et meurt, tout soudain. Ouvrir tout grand son cœur, son âme Respirer avec délectation, Entretenir la petite flamme De l’amour, avec dévotion.... ARC EN CIEL nephret — 10 Novembre 2020 ARC EN CIEL Tu m’appelles à la prière quand je te regarde, VIOLET, toi qui brille dans le royaume incommensurable de l’éternité. Le calme m’envahit. En toi, BLEU, je peux me reposer, pénétré de ton ambiance paisible. Et c’est comme si j’avais quitté les... SUPPLIQUE nephret — 7 Novembre 2020 SUPPLIQUE Combien me reste-t-il de printemps à semer Quand le soleil levant dissipe la grisaille ? Perce-neige et crocus, plantés dans la rocaille, Seront les tous premiers à venir nous charmer. L’odorant seringa, le muguet, la jonquille, Les arbres du... FACE A LA MER nephret — 17 Mai 2020 — Poésie FACE A LA MER L’onde compose une belle mosaïque de verts, Émeraude des bancs de sable blond, Aigue-marine des hauts fonds Herbiers de posidonie bleu-vert. Le ciel, en éternel mouvement, Sans cesse balayé par de petits nuages Comme une fumée, ténus, évanescents,... IL PLEUT nephret — 5 Mai 2020 — Poésie IL PLEUT Sur la mer et sur la jetée Sur les îles et sur mon visage, Sur les beaux oiseaux de passage, Et sur mon coeur désenchanté. IL PLEUT Sur le jardin et sur la ville Et sur les arbres dépouillés, Sur mon chagrin, calme et tranquille, Et sur tout... IL A SUFFIT nephret — 5 Mai 2020 — Poésie Il a suffit Il a suffit d'un regard Rien qu'un seul, un seul regard Maintenant le ciel et le vent sont mes amis Ils m'apportent de l'ombre et le parfum de sa vie Il a suffit d'un regard D'un regard Il a suffit d'un retard Rien qu'un seul, un seul retard... IL Y AURA.... Il y aura…. Quand tout te semble gris, triste et sans joie… dis-toi que, demain… Il y aura… Des matins bleus, plein de lumière, Des jours de pluie si doux, Des levers de soleil magiques…. Il y aura … Des rires d’enfants en cascade Des sourires amis réconfortants,... ENTRE MES LIGNES nephret — 4 Mai 2020 — Poésie ENTRE MES LIGNES Entre mes lignes, il y a mon cœur, Mes espoirs, mes regrets, mes désirs, Mes non-dits, mes joies et mes soupirs, Tous mes rêves de bonheur. Entres mes lignes, il y a des souffrances, Des cassures, des blessures, des adieux, Des tendresses,... LIBRE nephret — 4 Mai 2020 — Poésie LIBRE Vivre libre, en harmonie, Avec les hommes et l’univers, Avec une foi infinie, En l’avenir de notre terre. Vivre libre de ses pensées, De ses actions, de ses paroles, Protéger cette liberté De ceux qui la cambriole. Refuser les compromissions, La... DE L'OMBRE A LA LUMIERE nephret — 4 Mai 2020 — Poésie D E L’OMBRE A LA LUMIÈRE De l’ombre vers la lumière Du fond de mon cœur j’espère Englober en un éclair L’essence de l’univers De l’ombre vers la lumière La souffrance en bandoulière Déchirure au cœur, amère Retenir un souffle d’air… De l’ombre vers la... Afficher plus d'articles
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Une belle coccinelleDescendue d'un nuage grisA dérapé sur son ailePour me faire son charivariMe sortant de ma quiétudeA rompu ma solitudePour me raconter sans détourLes frasques nues de ses qu'elle regardait le cielSe délectant d'un arc en cielIl s'est approché près d'elleChantant une ritournelleComptant les taches de son dosLui fit le coup du tourne dosSans qu'elle ne sut lui dire nonDe son amour lui faisait encor' vierge coccinel'Lui toujours puceau coccinel'Ne purent aux sens résisterSans l'avoir vraiment souhaitéSe trouvèrent à copulerSans le savoir à procréerFace aux couleurs de l'arc en cielQui marient l'eau et le coccinelle a perdu quelques tachesQuand Monsieur a voulu jouer le bravacheEt pour lui montrer la fougue de son amourLa tenant serrée la promène aux alentoursEn une course folle entre les nuagesPoussant des cris vrillant de l'aile en sa rageEt tout soudain lui perçant la carapaceL'électrise puis la lâche en plein à cette étreinteDame coccinel' s'ébroueSur une lèvre peinteDu livre sur mes genouxUn dernier baiser au volDu papier prend son envolPour aller voir de nouveauLes couleurs soleil et eau.
Leproblème, c’est qu’il ne survient que sous certaines conditions : il faut qu’il pleuve. Et personnellement, la pluie, c’est pas mon truc. Quand il pleut, je suis souvent d’humeur maussade. Je suis donc en général d’humeur maussade quand je vois les arcs-en-ciel que j’affectionne pourtant tant. Ce qui gâche légèrement mon
LXXVIII - Spleen Quand le ciel bas et lourd pèse comme un couvercleSur l'esprit gémissant en proie aux longs ennuis,Et que de l'horizon embrassant tout le cercleII nous verse un jour noir plus triste que les nuits ; Quand la terre est changée en un cachot humide,Où l'Espérance, comme une chauve-souris,S'en va battant les murs de son aile timideEt se cognant la tête à des plafonds pourris ; Quand la pluie étalant ses immenses traînéesD'une vaste prison imite les barreaux,Et qu'un peuple muet d'infâmes araignéesVient tendre ses filets au fond de nos cerveaux, Des cloches tout à coup sautent avec furieEt lancent vers le ciel un affreux hurlement,Ainsi que des esprits errants et sans patrieQui se mettent à geindre opiniâtrement. - Et de longs corbillards, sans tambours ni musique,Défilent lentement dans mon âme ; l'Espoir,Vaincu, pleure, et l'Angoisse atroce, despotique,Sur mon crâne incliné plante son drapeau noir. Charles Baudelaire 1821-1867, les Fleurs du mal» “Quand je n'ai rien à faire...” l'été vu par Hugo, Gautier, Cros et Rimbaud La Pluie Longue comme des fils sans fin, la longue pluieInterminablement, à travers le jour gris,Ligne les carreaux verts avec ses longs fils gris,Infiniment, la pluie, La longue pluie, La pluie. Elle s'effile ainsi, depuis hier soir,Des haillons mous qui pendent,Au ciel maussade et s'étire, patiente et lente,Sur les chemins, depuis hier soir,Sur les chemins et les venelles,Continuelle. Au long des lieues,Qui vont des champs vers les banlieues,Par les routes interminablement courbées,Passent, peinant, suant, fumant,En un profil d'enterrement,Les attelages, bâches bombées ; Dans les ornières régulièresParallèles si longuementQu'elles semblent, la nuit, se joindre au firmament,L'eau dégoutte, pendant des heures ;Et les arbres pleurent et les demeures,Mouillés qu'ils sont de longue pluie, Tenacement, indéfinie. Les rivières, à travers leurs digues pourries,Se dégonflent sur les prairies,Où flotte au loin du foin noyé ;Le vent gifle aulnes et noyers ;Sinistrement, dans l'eau jusqu'à mi-corps,De grands boeufs noirs beuglent vers les cieux tors ; Le soir approche, avec ses ombres,Dont les plaines et les taillis s'encombrent,Et c'est toujours la pluieLa longue pluieFine et dense, comme la suie. La longue pluie, La pluie - et ses fils identiquesEt ses ongles systématiquesTissent le vêtement,Maille à maille, de dénûment,Pour les maisons et les enclosDes villages gris et vieillots Linges et chapelets de loquesQui s'effiloquent,Au long de bâtons droits ;Bleus colombiers collés au toit ;Carreaux, avec, sur leur vitre sinistre,Un emplâtre de papier bistre ;Logis dont les gouttières régulièresForment des croix sur des pignons de pierre ;Moulins plantés uniformes et mornes,Sur leur butte, comme des cornes Clochers et chapelles voisines,La pluie, La longue pluie, Pendant l'hiver, les assassine. La pluie, La longue pluie, avec ses longs fils ses cheveux d'eau, avec ses rides,La longue pluieDes vieux pays,Éternelle et torpide ! Emile Verhaeren 1855-1916 C'est l'automne si on en profitait pour lire un peu d'Apollinaire ? Après le déluge Aussitôt après que l'idée du Déluge se fut rassise, Un lièvre s'arrêta dans les sainfoins et les clochettes mouvantes, et dit sa prière à l'arc-en-ciel, à travers la toile de l'araignée. Oh! les pierres précieuses qui se cachaient, - les fleurs qui regardaient déjà. Dans la grande rue sale, les étals se dressèrent, et l'on tira les barques vers la mer étagée là-haut comme sur les gravures. Le sang coula, chez Barbe-Bleue, aux abattoirs, dans les cirques, où le sceau de Dieu blêmit les fenêtres. Le sang et le lait coulèrent. Les castors bâtirent. Les mazagrans» fumèrent dans les estaminets. Dans la grande maison de vitres encore ruisselante, les enfants en deuil regardèrent les merveilleuses images. Une porte claqua, et, sur la place du hameau, l'enfant tourna ses bras, compris des girouettes et des coqs des clochers de partout, sous l'éclatante giboulée. Madame *** établit un piano dans les Alpes. La messe et les premières communions se célébrèrent aux cent mille autels de la cathédrale. Les caravanes partirent. Et le Splendide-Hôtel fut bâti dans le chaos de glaces et de nuit du pôle. Depuis lors, la Lune entendit les chacals piaulant par les déserts de thym, - et les églogues en sabots grognant dans le verger. Puis, dans la futaie violette, bourgeonnante, Eucharis me dit que c'était le printemps. Sourds, étang; - écume, roule sur le pont et passe par-dessus les bois; - draps noirs et orgues, éclairs et tonnerres, montez et roulez; - eaux et tristesses, montez et relevez les déluges. Car depuis qu'ils se sont dissipés, - oh, les pierres précieuses s'enfouissant, et les fleurs ouvertes! - c'est un ennui! et la Reine, la Sorcière qui allume sa braise dans le pot de terre, ne voudra jamais nous raconter ce qu'elle sait, et que nous ignorons ! Arthur Rimbaud 1854-1891,Illuminations» Le magnifique poème de Frédéric Lefebvre sur les attentats de Paris Il pleure dans mon coeur Il pleure dans mon coeurComme il pleut sur la ville ;Quelle est cette langueurQui pénètre mon coeur ? Ô bruit doux de la pluiePar terre et sur les toits !Pour un coeur qui s’ennuie,Ô le chant de la pluie ! Il pleure sans raisonDans ce coeur qui s’ ! nulle trahison ?…Ce deuil est sans raison. C’est bien la pire peineDe ne savoir pourquoiSans amour et sans haineMon coeur a tant de peine ! Paul Verlaine 1844-1896Romances sans paroles» 1874
Jusquà la tristesse de l’arc en ciel Le soleil s’allume sur les calendriers. Voyant le vent qui soulève le paradis Il pense aux larmes des années Je pense à mon enfance de sêve La forêt L’histoire. Les cheveux blancs arrivent Le cercueil arrive La vieillesse arrive Tout arrive La mort est proche Pour le pauvre dauphin Quand les Quandil pleut au look pour arc en ciel, et quand il est un regard sombre pour les étoiles. Un beau rappel pour nous-mêmes et ceux autour de nous que nous choisissons d’aller pour le revêtement d’argent dans la vie ! Rester positif ! M. Il sagit dune * Image numérique imprimable Téléchargement
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Nemanquez pas toutes les belles couleurs de l’arc-en-ciel à la recherche de ce pot d’or. ― anonyme. dans la vie, soit vous choisissez de chanter un arc-en-ciel, soit vous ne le faites pas. continuez à chanter., ― Kathleen Long, Chasing Rainbows . quelque part au-dessus de l’arc-en-ciel, le ciel est bleu et les rêves que vous osez
B Voici un poème riche en image. Trouve le titre : Quand le soleil pleut. Et que la pluie luit, Le ciel met le feu. À son parapluie. ***** Il sort d’une étoile. Des pinceaux de poils. Et de la blancheur,
Poésie– Arc en Ciel Consignes : Recopie la poésie dans ton cahier de poésie. Fais attention à la présentation. Mets le titre à 4 carreaux et la majuscule en rouge. A la fin de chaque ver tu reviens à la ligne et tu sautes une ligne. Mets une majuscule en rouge au début de chaque ver. Pense à mettre l’auteur du poème. DGxNio.
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