LaFondation Bill & Melinda Gates a annoncé avoir déployé mercredi une série de mesures élargies pour lutter contre le COVID-19 à l'échelle mondiale, y compris 150 millions de dollars supplémentaires. D'après cette annonce, les fonds ajoutés vont financer le développement de diagnostics, de soins thérapeutiques et de vaccins, ainsi que de
bill gates préservatifabacapressSpécialiste des bonnes idées, à vos cerveaux ! Bill Gates vient d'annoncer qu'il offrira une récompense de 100 000 dollars 77 000 euros à la personne qui inventera un préservatif nouvelle génération. Le but étant de réduire davantage la propagation des maladies sexuellement transmissibles dans le monde et les grossesses non désirées. "Les préservatifs ont été en usage depuis environ 400 ans et pourtant ils ont subi très peu de progrès technologique au cours des 50 dernières années", explique le fondateur de Microsoft qui recherche "un préservatif qui préservera ou améliorera de manière significative le plaisir". Ce préservatif du futur devra être plus simple à utiliser, notamment via un meilleur conditionnement, et devra "surmonter les barrières culturelles". Bill Gates a même donné quelques idées qui pourraient être recevables comme l'utilisation de nouveaux matériaux qui améliorent et préservent les sensations, le développement de nouvelles formes de préservatifs ou encore l'application de la neurobiologie ou de la biologie vasculaire pour optimiser le préservatif. L'appel à projet fait partie du programme "Grands défis pour la santé globale" lancé par la fondation Bill&Melinda Gates Fondation en 2003. Il est ouvert aux chercheurs, aux étudiants et aux entrepreneurs. > Voir la description du projet de Bill GatesNotre NewsletterRecevez encore plus d'infos santé en vous abonnant à la quotidienne de adresse mail est collectée par pour vous permettre de recevoir nos actualités. En savoir plus.

Le20 août 2022, je reproduisais quatre articles du Patriarcat Catholique Byzantin en une seule publication. Ces articles concernaient le voyage du pape François au Canada et le rituel païen qui plaça,— selon le patriarche Elie —, l’Eglise sous la domination des démons. Or, il me fait plaisir de partager avec vous un long commentaire de

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Daprès le communiqué émanant de la fondation Bill et Melinda Gates, le précurseur de ce projet est optimiste quant à l’atteinte des objectifs. 1. Posté par A mon avis le 13/12/2016 15:26

Mandatory Credit Photo by REX/Shutterstock 4881053e Bill Gates Facebook for The Global Citizen event, London, Britain - 23 Jun 2015 Il est préférable d’élever des poules que d’apprendre à utiliser un ordinateur pour sortir de la pauvreté indique Bill Gates, et il a raisonL’information et le post de Bill Gates est bien sur à remettre dans son contexte mais c’est une évidence, en Afrique il faut gérer les priorités, et se nourrir passe avant l’ axe majeur est bien sur de générer rapidement des activités génératrices de revenus et c’est la aussi plus facile avec un élevage qu’avec un ordinateur !Mieux vaut élever des poules qu’avoir un ordinateur pour sortir de l’extrême pauvreté, conseille Bill Gates, l’homme le plus riche du monde et fondateur de l’empire Microsoft. Il me semble assez évident que n’importe qui vivant dans l’extrême pauvreté, se trouve mieux loti s’il a des poules», a écrit le milliardaire philanthrope cette semaine sur son site internet Gates, à la tête d’une fortune de 75 milliards de dollars, a expliqué que sa fondation Bill et Melinda Gates s’était associée à l’ONG Heifer International pour donner 100 000 poules à des familles d’Afrique sub-saharienne vivant avec moins de 2 dollars par a expliqué M. Gates, est que 30% des familles rurales de cette région élèvent des poules vaccinées, contre 5% est efficace, estime-t-il, car l’élevage de poule est peu coûteux, elles se reproduisent rapidement et les oeufs et la viande de poulet représentent des apports nutritifs estime Bill Gates, l’élevage de poules est un moyen de renforcer le rôle des femmesParce que ce sont de petits animaux qui restent près de la maison, dans de nombreuses cultures ils sont associés aux femmes, contrairement au bétail plus imposant comme les chèvres ou les bovins. Les femmes qui vendent du poulet sont enclines à réinvestir leurs profits auprès de leur famille», analyse ainsi le milliardaire.
Unappel à créer une telle fondation a été lancé par 77 scientifiques d’Europe en juin 2020. Une réunion se tiendra le 8 juin 2022 sous Présidence française de l’Union européenne pour promouvoir ce projet. Liste des participants confirmés (10/04/2022) Robert Barouki (Toxicologiste, Université Paris-Cité, France), Leon Barron (Sciences de

Les Massive Open Online Course MOOC – cours de masse en ligne prennent de l'ampleur dans le paysage de l'enseignement supérieur et impliquent les chercheurs, les enseignants, les apprenants ainsi que les décideurs. Mais qu'en est-il de l'efficacité d’un tel dispositif ? Peu de publications de recherche à comité de lecture » ont été publiées sur le sujet. La MOOC Research Initiative » MRI de la Fondation Gates souhaite mieux connaître l'impact réel des MOOC sur l'enseignement, l'apprentissage ainsi que sur l'éducation en général. L’appel à proposition s’inscrit dans la volonté de la Fondation de mieux connaître le potentiel des MOOC afin d’étendre ce genre de dispositif et d’améliorer l’accès aux diplômes d’enseignement supérieur postsecondery credentials, via des MOOC plus personnalisés et à des coûts plus abordables. Le budget total de l’investissement est de avec des subventions pouvant aller de à chacune. Candidature Première soumission le 7 juillet 2013 au plus tard maximum deux pages. Les candidatures présélectionnées seront le 20 juillet 2013. Soumission complète le 20 août 2013. maximum 6 pages Les résultats définitifs seront publiés le 30 août 2013. Les appels doivent être soumis en ligne à l’adresse Pour consulter l’appel d’offres complet Les questions peuvent être posées à l’adresse suivante gsiemens Date de publication 04/07/2013 Dans votre région Un soutien de poids à l’innovation pédagogique et à la recherche-action dans la Caraïbe Date de publication 10/08/2022 Lire la suite Publication du 1er numéro du VaRRIWA Magazine Date de publication 05/08/2022 Lire la suite Un soutien de poids à l’innovation pédagogique et à la recherche-action dans la Caraïbe Date de publication 02/08/2022 Lire la suite Ailleurs à l'AUF Nere Nahal notre voie vers la solution » pour le Pacifique Lire la suite Haïti Séisme l’AUF inaugure 6 Espaces Connectés Ouverts dans le Grand Sud du pays Lire la suite Cérémonie d’hommage du représentant régional pour l’Asie-Pacifique de l’OIF Lire la suite Nous utilisons des cookies pour nous assurer de vous offrir la meilleure expérience sur notre site Web. En cliquant sur "Accepter", vous consentez à l'utilisation de tous les cookies. Le bouton "Refuser" permet de refuser les cookies non-nécessaires. Voir la politique de confidentialité

Enoutre, au fil des ans, Bill Gates a dépensé 700 millions de dollars pour acheter 242 000 acres de terres et devenir un grand propriétaire foncier aux États-Unis (il est notamment surnommé Le 1er septembre, Bill Gates a demandé plus de fonds pour aider les agriculteurs les plus pauvres à faire face au changement climatique. Pour le milliardaire américain, la question de l’alimentation demeure un enjeu crucial face au changement climatique. Son appel vise à pousser les pays industrialisés à débloquer des fonds pour les petits agriculteurs lors des négociations climat qui auront lieu à Paris à la fin de l’année. Cette volonté d’aider les pauvres s’inscrit dans la continuité de l’encyclique du pape, publiée en juin, dans laquelle le souverain pontife fait un lien entre pauvreté, inégalité et dégradation environnementale. >> Lire Le pape dévoile son encyclique sur le climat en amont de la COP 21 Dans un article publié sur son GatesNote blog, Bill Gates écrit qu’il est essentiel de protéger les petits exploitants dans les pays les plus pauvres du monde, car ils produisent une part de plus en plus importante des denrées alimentaires mondiales, et qu’ils sont menacés par le changement climatique. Pour les agriculteurs les plus pauvres, la vie est un exercice de haute voltige, sans filet de sécurité. Ils n’ont pas accès à des semences améliorées, à des engrais, à des systèmes d’irrigation et à d’autres technologies avantageuses comme les agriculteurs des pays riches », écrit Bill Gates. Désormais, le changement climatique va encore compliquer leur vie… De toutes les personnes qui souffriront du changement climatique, ce sont ceux qui en pâtiront le plus. » Les conseillers de Bill Gates ont déclaré que cette intervention avait pour but d’orienter plus de fonds pour le climat vers les plus pauvres et vers des mesures qui pourraient protéger les petites exploitations de conditions météorologiques extrêmes et autres risques attendus dans les années à venir. >> Lire Infographie Financer le développement et la lutte contre le changement climatique Il veut s’assurer que l’argent est dépensé dans ce qui, selon lui, est la priorité absolue la vulnérabilité alimentaire des plus pauvres », a déclaré Geoffrey Lamb, conseiller économique et politique de la fondation. Selon Bill Gates, les priorités sont une meilleure gestion de l’eau, pour que les sécheresses fassent moins de dégâts, et la recherche, pour développer des semences résistantes à la sécheresse et aux insectes et qui ne nécessitent pas trop d’engrais couteux. Tout ne tourne pas autour des technologies, a rappelé Geoffrey Lamb. Nous cherchons à dire écoutez, nous avons un rôle important dans le développement mondial pour soutenir les petites exploitations agricoles, la recherche et le développement dans ce domaine. Bill Gates pense qu’il est absolument indispensable que lorsque nous pensions à un avenir plus chaud, plus sec et menacé par le climat, nous pensions aux personnes qui ont très peu de marge entre eux et une véritable crise », a déclaré le conseiller. >> Lire La conférence d’Addis-Abeba veut graver dans le marbre le lien entre climat et développement La collecte de fonds pour le financement de la lutte contre le réchauffement climatique est perçue comme un prérequis à un accord climatique fort. Des diplomates se sont réunis à Bonn cette semaine pour l’un des derniers cycles de négociations officiels avant Paris. Jusqu’à présent, les gouvernements n’ont promis de contribuer au Fonds vert pour le climat qu’à hauteur de 10 milliards de dollars [9 Md d’euros], loin de la précédente promesse de mobiliser 100 milliards de dollars par an d’ici à 2020 pour aider les économies en développement à réduire leurs émissions de gaz à effet de serre et à protéger les populations du changement climatique. Par ailleurs, le Fonds vert pour le climat a fait l’objet de critiques pour ses priorités, notamment pour ses transactions avec des grands financeurs du secteur du charbon. Avec une dotation de 43 milliards de dollars [38 Md d’euros], la fondation Bill et Melinda Gates est la plus grande organisation caritative au monde. Elle exerce une influence énorme sur la politique de développement mondiale. La Fondation Gates a déclaré dépenser environ 390 millions de dollars dans des programmes d’aide aux petits exploitants, soit plus de 10 % du total de ses dons. L’organisation travaille aussi avec le Fonds vert pour le climat pour décider de l’orientation des fonds. Le Guardian a exhorté la fondation à désinvestir dans le charbon, le pétrole et le gaz, car la majorité des combustibles fossiles ne peuvent pas être brulés sans conséquences dangereuses pour le climat. Bill Gates a rejeté l’idée du désinvestissement, mais a déclaré qu’il investirait 2 milliards de dollars dans des technologies pour énergies renouvelables. MESRS: La cérémonie de signature d’un master en gestion des risques de catastrophes (GRC), entre l’USTTB, la DGPC et l’EMP-ABB accomplie Dans la
L’influence de McKinsey n’en finit plus d’être exhumée. Après les sommes folles déboursées par l’appareil d’État français depuis plusieurs années, ce sont les dépenses de l’Organisation mondiale de la Santé OMS accordées à ce cabinet de conseil qui interrogent. Depuis 2015, l’OMS a versé près de 17,7 millions de dollars au cabinet de conseil en stratégie, McKinsey & Company. Comment expliquer de tels montants? Sans doute en partie pour mettre en œuvre la vaste réorganisation de l’OMS, engagée en 2017, ainsi que pour formuler des recommandations de santé publique. La question de l’influence réelle de la multinationale américaine McKinsey sur la santé mondiale mérite d’être posée. Michèle Rivasi, députée européenne EELV, Cofondatrice de l’Observatoire de vigilance et d’alerte écologique Ovale La grande transformation En 2017, la décision est prise de réformer en profondeur l’OMS en vue d’atteindre en 2030 les objectifs de développement durable liés à la santé. Ce nouveau modèle de fonctionnement revient à transformer l’institution en une ONG flexible, mobile, modulable, innovante » en faisant appel à des consultants extérieurs dans des domaines tels que la gestion du changement, la refonte des processus et les outils d’analyse du modèle de fonctionnement », développe son directeur général, le Dr Tedros Adhanom Ghebreyesus en 2019. Les conseils de McKinsey au sein de l’OMS ont toutefois débuté bien avant. La Firme », telle qu’on la surnomme, première dans son secteur et présente dans plus de 60 pays, a reçu de l’OMS près de 17,7 millions de dollars entre 2015 et 2021. L’opacité domine En effet, nous ne savons pas précisément quelles ont été les missions des consultants engagés. Ces contrats sont-ils liés au programme de transformation de l’OMS amorcé en 2017 ? A d’autres conseils de gestion ? Ou, véritablement, à l’influence d’intérêts privés sous couvert de recommandations de santé publique ? Nous ne connaissons pas davantage la nature des missions menées avant 2015, de même que le contenu des contrats totalement ou partiellement pris en charge par de grands donateurs comme la Fondation Gates. L’influence de McKinsey ne transparaît pas seulement dans les bilans financiers de l’OMS. Elle prend aussi la forme de prestations pro bono », une stratégie commerciale qui consiste à offrir ses services bénévolement, gracieusement, au nom de l’intérêt général. A qui profite le pro bono » ? Les cabinets de conseil tels que McKinsey se sont fait une spécialité de cette pratique aux prestations tout d’abord gratuites, puis grassement payées. Cette stratégie d’entrisme échappe aux mécanismes de contrôle et instille le doute sur d’éventuelles contreparties. L’OMS a reconnu, en 2011, l’implication de McKinsey dans les travaux préliminaires de l’un de ses groupes de travail sur la préparation aux grippes pandémiques et l’accès aux vaccins. Pour réaliser ces études, la Fondation Bill & Melinda Gates s’est chargée du contrat avec McKinsey, sans que cette mission apparaisse dans le suivi de passation des marchés de l’OMS. Comment le cabinet McKinsey a-t-il été sélectionné ? L’OMS s’est-elle inquiétée des éventuels conflits d’intérêts de la Firme » ? Ces questions sont loin d’être anodines puisque dans le même temps, en 2010 et 2011, McKinsey a monnayé ses conseils auprès des fabricants de vaccins Merck, Sanofi et Novartis, ainsi qu’au sein d’autres missions touchant au marché des vaccins. Il en est ainsi du développement du business plan de l’Alliance GAVI, une organisation largement financée par la Fondation Bill et Melinda Gates depuis sa création en 2000, et dont la raison d’être est de façonner le marché » de l’accès aux vaccins. La fondation Bill & Melinda Gates fut créée en 2000. Celle-ci a notamment aidé à la naissance de l’Alliance des vaccins Gavi à Genève Les infiltrés de la santé mondiale Une large part des programmes de santé mondiale poussés par la Fondation Gates ou par l’OMS s’appuient en réalité sur les conseils de McKinsey ou du Boston Consulting Group BCG. Entre 2006 et 2017, la Fondation Bill et Melinda Gates, second donateur au budget de l’OMS après les États-Unis, a commandé des prestations à McKinsey à hauteur de 184 millions de dollars, et au BCG pour 134 millions de dollars. L’OMS, pour sa part, a reconnu, en 2019, avoir déboursé plus de 12 millions de dollars de missions d’accompagnement de son programme de transformation, via six cabinets de consultants. Au moins un quart de cette somme a été directement payé par la Fondation Gates. Qui décide des mesures du prochain traité international sur les pandémies? Dans ce contexte, il est légitime de s’interroger qui décide et formule les mesures du futur traité international sur les pandémies ? Quelles sont les compétences de ces cabinets de consultants en matière de santé publique ? Engagé auprès de l’Alliance GAVI et de la Fondation Gates depuis leurs premiers jours, McKinsey produit des notes d’analyse sur la santé publique mondiale depuis 2002. McKinsey a été également la première cheville ouvrière de COVAX, une initiative co-dirigée par l’Alliance GAVI, la CEPI Coalition pour les innovations en matière de préparation aux épidémies, un autre partenariat lancé à Davos en 2017, et cofondée par la Fondation Gates, l’Inde, la Norvège, le Wellcome Trust et le World Economic Forum, ainsi que par l’OMS, en vue d’assurer un accès juste et équitable aux vaccins contre le Covid-19 à l’échelle mondiale. En janvier 2021, l’OMS a confirmé son soutien au projet de traité international de réponse aux pandémies annoncé par Charles Michel, président du Conseil européen. Ce traité, en cours d’écriture, sera signé d’ici 2023. Mais avons-nous la certitude que c’est bien l’OMS, et non McKinsey ou d’autres consultants, qui est derrière la rédaction de ce traité ? Le risque étant de finaliser un traité conçu pour façonner un marché de la santé mondiale taillé selon les besoins de grands groupes privés. Nous devons assurer la traçabilité de l’activité de ces cabinets de conseil et l’accès public à leurs recommandations. Un contrôle réel et transparent de l’usage des deniers publics est impératif. Michèle Rivasi, députée européenne EELV Site Les sources Suivi des Marchés publics et Contrats de services passés par l’OMS, 2021 – 2015 Programme de transformation de l’OMS, mai 2019 Vox, dec 2019 Vox, juin 2021 Questions de KEI à l’OMS, 16 février 2011 Reponse de l’OMS à KEI 20 février 2011 Developping Global Health Alliances, april 2002 Briefing MSF Covax, juin 2020 Bill Gates a-t-il trop d’influence sur l’OMS ? 11 mai 2021 Le Conseil donne son feu vert à l’ouverture de négociations sur un traité international sur les pandémies, 3 mars 2022, Page FR
Lidée plut à la Fondation Bill et Melinda Gates qui investit 75 millions de dollars (Voir ci-dessous les montants) dans la technologie du forçage génétique. La fondation estimait à l’origine que la technologie serait prête pour une première utilisation sur le terrain d’ici 2029 quelque part en Afrique. Cependant, Gates en 2016 a revu son
L’innovation est une clé pour lutter contre les émissions de carbone, et les gouvernements devraient être encouragés à investir davantage qu’ils ne l’ont fait, a déclaré le cofondateur de Microsoft Bill Gates. Dans un entretien exclusif, M. Gates qui est également coprésident de la Fondation Bill & Melinda Gates, a cité de nombreuses sources d’émissions comme les aciéries et les cimenteries, ainsi que la façon dont les gens cultivent le riz, fabriquent les engrais et élèvent le bétail, en affirmant que le monde ne peut passer outre aucune de ces sources pour atteindre l’objectif de zéro émission. Pour résoudre ces problèmes, l’innovation est une clé », a-t-il dit, notant que la recherche et développement R&D de base est un domaine de coopération énorme, en particulier en matières les plus difficiles telles que la production d’hydrogène écologique très bon marché afin de fabriquer de l’acier et des engrais écologiques. Nous attendons tous avec impatience la COP26 à Glasgow en novembre, et nous espérons y assister à beaucoup plus de discussions sur les outils innovants », a indiqué M. Gates, ajoutant que sans innovation, même les pays riches ne seront pas capable d’atteindre l’objectif de zéro émissions. M. Gates va publier mardi son nouveau livre, intitulé Climat Comment éviter un désastre les solutions actuelles, les innovations nécessaires ». Il y suggère quelques mesures concrètes que les individus, les gouvernements et les entreprises peuvent prendre pour éliminer les émissions de gaz à effet de serre. Dans mon livre, je partagerai ce que j’ai appris en plus d’une décennie d’étude auprès d’experts du changement climatique et d’investissement dans les innovations dont nous aurons besoin pour y faire face », a-t-il révélé. M. Gates a exprimé l’espoir qu’en publiant ce livre, le monde pourra élaborer un plan impliquant davantage d’innovation, une forte coopération entre les différents pays et un grand nombre de politiques très innovantes. Au cours de l’entretien, le philanthrope milliardaire américain a estimé que les véhicules électriques auront absolument un avenir, même s’ils ne représentent qu’un modeste pourcentage des ventes de voitures aujourd’hui, citant le plan de General Motors consistant à cesser de fabriquer des voitures particulières à essence d’ici 2035. Il a mentionné les nombreux enseignements tirés de l’industrie des véhicules électriques, affirmant que de meilleurs résultats pourraient être obtenus si une grande partie de ces subventions étaient transférées vers ces domaines plus difficiles. Parmi les nouvelles catégories d’énergie, M. Gates a souligné qu’il privilégie surtout l’énergie nucléaire, qui bénéficie d’avantages en matière de la transmission et la fiabilité du stockage. Comme les centrales nucléaires deviennent plus sûres et moins chères, a-t-il ajouté, l’énergie nucléaire pourrait avoir un rôle à jouer, car elle est toujours disponible quel que soit le temps qu’il fait. Pour lui, il ne fait aucun doute que les énergies éolienne et solaire représenteront une part gigantesque de la future production d’électricité, mais qu’à moins d’un miracle en matière de stockage, des sources comme le nucléaire qui ne dépendent ni du vent ni du soleil sont nécessaires, souligne Industrie la GIZ et Cluster Menara lancent un centre d’innovation L’Agence de coopération internationale allemande pour le développement GIZ et le Cluster Menara, spécialisé dans les industries agroalimentaire et cosmétique de luxe ont signé, mercredi à Marrakech, une convention de partenariat pour la création d’une halle technologique. Ce nouveau centre sera dédié à l’industrie agroalimentaire et cosmétique, et implémenté au sein de la Cité de l’innovation de l’université Cadi Ayyad UCA. L’accord de partenariat a été signé par la cheffe Business Desk du projet de programme Partenariat pour l’emploi et appui aux moyennes entreprises au Maroc» PPE de la GIZ, Antje Uhlig et le président du Cluster Menara, Youssef Mouhyi. L’objectif est d’offrir une plateforme technologique qui permettra aux membres du cluster de venir tester leurs produits et de continuer à se former afin d’être capables de créer de nouveaux produits répondant aux standards internationaux, leur permettant d’accéder aux nouveaux marchés en Europe et en Afrique. Dans cette optique, Antje Uhlig a souligné, lors de la cérémonie de signature de cette convention, que c’est un projet pilote lancé dans le cadre de l’initiative Invest for Jobs» l’initiative spéciale formation et emploi de la GIZ, qui est dédié aux secteurs de l’agroalimentaire et de la bio-cosmétique, dans le but de soutenir le Cluster Menara et d’ériger deux laboratoires pour promouvoir et hisser la qualité des produits des entreprises à des standards élevés». De son côté, Youssef Mouhyi s’est réjoui de la signature de cette convention qui revêt un caractère stratégique pour les secteurs agroalimentaire et cosmétique. Le Cluster Menara a scellé une collaboration stratégique avec la GIZ qui a abouti à la création d’un centre africain d’innovation dans l’agroalimentaire et les cosmétiques». Et d’ajouter que ce partenariat constitue l’aboutissement de cinq ans de travail et de maturité de ce réseau professionnel, spécialisé dans les industries agroalimentaire et cosmétique de luxe, qui agrège plus de 70 entreprises, institutionnels, ONG et centres de recherches et de formation». Effectivement, cette convention est une chance importante qui s’offre au cluster grâce à l’Université Cadi Ayyad qui a permis d’implémenter cette halle technologique dans la Cité de l’innovation, note La Cité de l’innovation de l’UCA de Marrakech Pour sa part, Mohamed Tounassi, conseiller agroalimentaire du PPE, a assuré que la GIZ vient soutenir ce cluster pour la création d’une halle technologique qui sera implémentée au sein de la Cité de l’innovation de l’UCA de Marrakech, relevant que ce centre abritera un certain nombre d’outils qui serviront à former les entrepreneurs de la région aux métiers de l’agroalimentaire. Dans le détail, cette halle technologique permettra notamment d’entamer de nouveaux moyens d’emballage et d’effectuer des analyses bio au sein de ces deux laboratoires, a-t-il expliqué, relevant que la GIZ aspire à ce que ce projet profite à un grand nombre d’entreprises à travers une expertise technique profonde, de sorte que ces PME soient capables de produire selon un haut standard et qu’ils puissent accéder aux nouveaux marchés en Europe et en Afrique. Pour rappel, la GIZ opère au Maroc depuis 1975 pour le compte du ministère fédéral de la Coopération économique BMZ. Elle intervient également dans des proportions croissantes au royaume pour le compte d’autres commettants tels que le ministère fédéral de l’Environnement, de la protection de la nature et de la sûreté nucléaire BMU, le ministère fédéral des Affaires étrangères AA, le ministère fédéral de l’Économie et de l’énergie BMWE, l’Union européenne et des entreprises marocaines. Pour sa part, le Cluster Menara continue d’œuvrer pour le co-développement, la création de startups et l’investissement dans les industries agroalimentaire et cosmétique de luxe marocaines. En 2019, il a lancé le premier écosystème territorial du Maroc qui englobe toute la valorisation de la chaîne des plantes aromatiques et médicinales, la Marrakech Health et Beauty Valley, renchérit Moctar FICOU / VivAfrik
Cest dans le but de lui porter le coup de grâce que la Fondation Bill & Melinda Gates a lancé un nouvel appel à projets en septembre 2015. L’objectif : augmenter drastiquement l’accès mondial à des vaccins Dans une vidéo très sérieuse, Bill Gates présente l'Omniprocessor, une mini-usine de traitement des excréments humains qui les transforme en eau potable et en électricité. Une initiative soutenue par la fondation Bill & Melinda Gates pour lutter contre les problèmes sanitaires qui touchent près de 2 milliards de personnes dans le monde. Bill Gates, le célèbre fondateur de Microsoft qui se consacre depuis sa retraire à la philanthropie au travers de la Bill & Melinda Gates Foundation, a présenté sur son blog le 5 janvier une machine innovante, l'Omniprocessor. Créée par Janicki Bioenergy, une entreprise d'ingénierie basée au nord de Seattle, l'Omniprocessor traite les matières fécales humaines pour les transformer en eau potable et en électricité. Le principe est simple les déjections sont incinérées et la vapeur générée est utilisée pour produire de l'électricité. Et Bill Gates n'a pas hésité à boire un verre de l'eau ainsi obtenue pour prouver sa qualité. Elle est, selon lui, "aussi bonne que n'importe quelle eau en bouteille." VOS INDICES source Economiquement viable L'innovation ? L'énergie produite est supérieure aux besoins de la machine et peut être revendue pour alimenter d'autres équipements. Au total, en recevant la production de déchets de 100 000 individus, l'Omniprocessor peut produire 86 000 litres d'eau potable et 250 kW d'électricité par jour. Le prototype se situe pour le moment à Seattle, mais un projet pilote sera déployé à Dakar Sénégal en 2015. Le but pour la fondation Gates est à la fois de réduire les maladies liées aux manquements sanitaires dans les pays en voie de développement, qui tuent jusqu'à 700 000 enfants par an, et d'améliorer l'accès à l'eau potable dans ces mêmes zones. L'Inde figure parmi les pays pour lesquels Bill Gates pense que la technologie est la plus appropriée. Julien Bergounhoux SUR LE MÊME SUJET Les coûts exorbitants de la dépollution des eaux
Nanopatchde vaccin financé par la Fondation Gates : Bill Gates, le philanthrope favori de M. Slaoui, a également financé Vaxxas, une entreprise de biotechnologie qui s’est concentrée sur le développement d’un patch de vaccin qui pourrait éventuellement fournir un vaccin COVID-19. Le 5 octobre, l’autorité de recherche et de
Les trois donateurs ont promis de soutenir les pays en développement de l’Afrique de l’Ouest d’ici 2020. La fondation Bill & Melinda Gates a ainsi lancé un fonds de planification familiale de 18 millions de dollars qui sera géré par le Fonds des Nations Unies pour la Population UNFPA Supplies, annonce un communiqué de presse remis jeudi aux journalistes accrédités à cette rencontre organisée au Centre internationale de conférences de la capitale rwandaise. Ce financement servira pour la contrepartie des produits et l’assistance technique. Il est destiné aux pays du partenariat d’Ouagadougou Bénin, Burkina Faso, Côte d’Ivoire, Guinée, Mali, Mauritanie, Niger, Sénégal et Togo. Le fonds de contrepartie des produits 15 millions de dollars allouera deux dollars pour chaque dollar supplémentaire que ces pays investissent dans la planification familiale à partir de ressources domestiques, en fonction de l’allocation de l’année précédente. Le Département du développement international du Royaume-Uni a pour sa part annoncé un nouveau programme phare ’Women’s Integrated Sexual Heath WISH’’ de 260 millions de dollars. Cette initiative est destinée à faciliter à 6 millions de couples ’l’accès de manière fiable aux contraceptives volontaires vitaux dans certains des pays les plus pauvres du monde chaque année’’. Le ministre du Développement international du Canada, Marie Claude Bibeau, a promis un financement de 78, 8 millions de dollars pour des projets qui adoptent ’une approche complète à la santé et aux droits sexuels et reproductifs, notamment l’accès universel à la planification familiale et l’accès à des avortements sûrs et légaux’’. En outre, cet investissement fait partie de l’engagement d’Ottawa à ’combler les lacunes dans le financement de la santé de la reproduction’’, annoncé par son Premier ministre Justin Trudeau en mars 2017. Samantha Saberu bTLi0id.
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